Chers consoeur et confrères, vénérés jurés,
Il est plus que temps de dénoncer ici
les horreurs qui assaillent nos enfants
sur ce site qui tient la loi en mépris
et traumatise la veuve et l'innocent.
Car,ô jurés, tels sont les faits,
maintenant devant vous relatés,
que je vais dès à présent déflorer.
Sous titre de modérateurs
avec pour avatar un faux-nez,
certains d'eux font dans l'horreur
et veulent nous abuser.
Les preuves les voici, je les ai.
Le grand premier des modo de vertu,
regardez-le bien, il est soit-disant barbu :
Que nenni, de barbe il en n'a plus
Et oui, madame, c'est un faux velu.
(honni soit qui mal y pense et voudrait rimer gros... sier)
Rendez-vous compte de l'horreur folle
pour nos gamins cherchant leur idole
et découvrant au festif mondial
un Daniel glabre : quel mal fatal !
Mais il y a plus grave, messieurs les jurés !
Vous ne pouvez le croire, mais c'est vrai.
A la tromperie s'ajoute la luxure,
un doigt suggestif sans retenue
pour exciter l'homo erectus
vous semblerait bien un abus ?
Et pourtant, mâtez ici, ô jurés,
l'avatar récidiviste du dépravé
Lionel-modo-érotico adicté
posant sous les yeux effarés
de nos bambins adorés
(Rhaaaaa lovely)
Mais pour la fin vient ici le pire
L'horreur totale, d'où mon ire !
Le cauchemar, y'en a marre !
Qui pourra soutenir qu'une telle laideur
n'est pas celle d'un faux modérateur
dès lors qu'il ne peut lui-même modérer
son propre gout pour la monstruosité.
Pour nos enfants par pitié,
qui ne dorment plus la nuit
rêvant du Beber traumatisés,
sont pour toujours anéantis,
s'il vous plait, je vous en conjure,
ô jurés, condamnez ces modos parjures.
Chers consoeur et confrères, vénérés jurés,
Votre émotion est grande, je le sais,
C'est nos amis, me direz-vous, je l'admets,
c'est pourquoi la clémence (bonjour madame) est de rigueur,
nous leur laisserons le titre de modérateur,
mais d'avatar il leur faudra dès maintenant changer
la vérité et la modération respecter
et la vertu de nos enfants protéger.
Alors, il leur sera pardonné.
Fait en l'an de grâce deux mil huit le cinq de décembre
pour exécution immédiate et sans délai
par Prudence-Eléonore de la Chaste-Prunelle des Florés de Montmirail, doyenne
Il est plus que temps de dénoncer ici
les horreurs qui assaillent nos enfants
sur ce site qui tient la loi en mépris
et traumatise la veuve et l'innocent.
Car,ô jurés, tels sont les faits,
maintenant devant vous relatés,
que je vais dès à présent déflorer.
Sous titre de modérateurs
avec pour avatar un faux-nez,
certains d'eux font dans l'horreur
et veulent nous abuser.
Les preuves les voici, je les ai.
Le grand premier des modo de vertu,
regardez-le bien, il est soit-disant barbu :
Que nenni, de barbe il en n'a plus
Et oui, madame, c'est un faux velu.
(honni soit qui mal y pense et voudrait rimer gros... sier)
Rendez-vous compte de l'horreur folle
pour nos gamins cherchant leur idole
et découvrant au festif mondial
un Daniel glabre : quel mal fatal !
Mais il y a plus grave, messieurs les jurés !
Vous ne pouvez le croire, mais c'est vrai.
A la tromperie s'ajoute la luxure,
un doigt suggestif sans retenue
pour exciter l'homo erectus
vous semblerait bien un abus ?
Et pourtant, mâtez ici, ô jurés,
l'avatar récidiviste du dépravé
Lionel-modo-érotico adicté
posant sous les yeux effarés
de nos bambins adorés
(Rhaaaaa lovely)
Mais pour la fin vient ici le pire
L'horreur totale, d'où mon ire !
Le cauchemar, y'en a marre !
Qui pourra soutenir qu'une telle laideur
n'est pas celle d'un faux modérateur
dès lors qu'il ne peut lui-même modérer
son propre gout pour la monstruosité.
Pour nos enfants par pitié,
qui ne dorment plus la nuit
rêvant du Beber traumatisés,
sont pour toujours anéantis,
s'il vous plait, je vous en conjure,
ô jurés, condamnez ces modos parjures.
Chers consoeur et confrères, vénérés jurés,
Votre émotion est grande, je le sais,
C'est nos amis, me direz-vous, je l'admets,
c'est pourquoi la clémence (bonjour madame) est de rigueur,
nous leur laisserons le titre de modérateur,
mais d'avatar il leur faudra dès maintenant changer
la vérité et la modération respecter
et la vertu de nos enfants protéger.
Alors, il leur sera pardonné.
Fait en l'an de grâce deux mil huit le cinq de décembre
pour exécution immédiate et sans délai
par Prudence-Eléonore de la Chaste-Prunelle des Florés de Montmirail, doyenne
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