Après la modélisation du «SA315B_Lama_XP11», j’attaque son ‘’ prédécesseur’’ le « SO-1221_DJINN » pour XPlane11:
Extrait Hélico-fascination :
'' ….En vol, le Djinn se pilote comme tout autre hélicoptère à la différence prêt c’est que le travail au pied est presque inexistant sauf en travail sol.
Sa voilure lourde était rassurante surtout en cas de panne moteur, car il était très difficile de perdre des tours rotors. Jean BYBA réussissait à faire trois autorotations de suite sans remettre de puissance tant l’inertie était grande.
Autre avantage de cet appareil, la possibilité de faire des décollages sautés. En montant les tours rotors au delà de 380 tr/mn, l’accumulation du matelas d’air sous le rotor permettait de passer des obstacles hauts au décollage en tirant brutalement sur le collectif ce qui nous faisait franchir ceux-ci comme un bouchon de champagne. Il suffisait de rebaisser le pas général gentiment pour récupérer les peu de tours perdus.
Les inconvénients du DJINN à l’époque : son bruit, ses vibrations, sa vitesse relativement lente, sa consommation qui limitait sa distance franchissable.
J’ai de temps à autre l’occasion de revoler sur cet appareil et je ne m’en lasse toujours pas…".
Extrait Hélico-fascination :
'' ….En vol, le Djinn se pilote comme tout autre hélicoptère à la différence prêt c’est que le travail au pied est presque inexistant sauf en travail sol.
Sa voilure lourde était rassurante surtout en cas de panne moteur, car il était très difficile de perdre des tours rotors. Jean BYBA réussissait à faire trois autorotations de suite sans remettre de puissance tant l’inertie était grande.
Autre avantage de cet appareil, la possibilité de faire des décollages sautés. En montant les tours rotors au delà de 380 tr/mn, l’accumulation du matelas d’air sous le rotor permettait de passer des obstacles hauts au décollage en tirant brutalement sur le collectif ce qui nous faisait franchir ceux-ci comme un bouchon de champagne. Il suffisait de rebaisser le pas général gentiment pour récupérer les peu de tours perdus.
Les inconvénients du DJINN à l’époque : son bruit, ses vibrations, sa vitesse relativement lente, sa consommation qui limitait sa distance franchissable.
J’ai de temps à autre l’occasion de revoler sur cet appareil et je ne m’en lasse toujours pas…".
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